Etalés sur deux journées , les travaux du 18 éme congrès international de l’association nationale des gynécologues obstétriciens libéraux placé sous le thème “innonvation et expertise au service de la santé, de la femme et du foetus” ont pris fin hier.
De nombreuses thématiques liées à la santé de la femme et du foeutus ont été abordées, lors de ces deux journées en plènière, et une vingtaine d’ateliers ont été animés par par des experts nationaux et internationaux. Ce qui reflète la dynamique de cette association qui est “soucieuse de se rapprocher dvantage des conseours et de confrères de toutes les régions du pays, et continuera à orgniser des journées d e formtion médicles continues, dans différentes villes du pays. Elle envisage aussi de proposer des master Class régionaux” , a déclaré Dr Farid Benaibouche, Président de l’association nationale des gynécologues obstétriciens libéraux,(ANGOL) à l’ouverture de travaux vendredi.
L’ objectif visé à travers cette rencontre scientifique inetrntionale est de permettre aux médecins gynécologues d’acutualiser leurs connaissances et s’informeer des nouvelles techniques. « Notre objectif à travers ce congrès est la formation médicale continue et la sensibiliation des médecins sur certaines maladies pour un meilleur diagnostic et améliorer le dépistge notamment certains cancers et autres pathologies telle que l’endométriose” , a t-il indiqué et de souligner que pour mieux traiter ces maladies, “il faut justement s’informer et se former. “Nous avons aujourd’hui les moyens humains et matériels pour traiter ces pathologies “, en faisant référence à l’infertilité.
Plusieurs techniques sont auourd’hui disposibles prendre en charge ce problème. “Il faut savoir que 15% des couples souffrent d’infertilité », a fait savoir Dr Benaibouche. L’endométriose et citée comme l’une des causes de l’infértélité. “Il est importnt de sensibiliser les médecins pour un dignostic précose de cette maladie pour qu’on puisse la prendre en charge et éviter à la patientes toutes els complications qui peuvent survenir et les conséquences sur sa santé. Il en est de même pour certains cancers gyncologiques qui, a t-il dit ” pourraient être diagnostiquer prococement et bénficier d’une prise en charge précoce et au moindre coût ».
A noter qu’un atelier conscaré exclusivement aux patientes endométriosiques a été animé, samedi, par Mme Assia Belhocine, la présidente de l’association nationale de lutte contre l’endométriose, le Dr Farid Benaibouche, président du comité scientifique de l’association et Dr Nassim Hachelaf.
Djamila Kourta