“l’Algérie occupe une place stratégique en matière d’industrie pharmaceutique, lui a permis de s’adjuger les premières places sur la liste des pays africains couvrant localement leurs besoins en médicaments », a déclaré le représentant de l’Organisation mondiale de la santé #OMS en Algérie, Phanuel Habimana, jeudi, indique un communiqué du ministère de l’Industrie pharmaceutique.
Lors d’un point de presse, à l’occasion de l’inauguration du Salon International de la Pharmacie en Algérie (SIPHAL), le ministre de l’industrie pharmaceutique,M. Ouassim Kouidri, a annoncé ce jeudi, que la production de la matière première pour la fabrication des produits d’oncologie sera lancée prochainement en Algérie et des médicaments anticancéreux seront dispensés en officines .
Placée sous le haut patronage des ministres de l’Industrie pharmaceutique et de la Santé, cette édition met à l’honneur un enjeu majeur de santé publique : « La pharmacie dans la prise en charge du cancer ». Un choix qui, selon le directeur du SIPHAL, Yacine Louber, ne doit rien au hasard.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelhak Saihi, a réaffirmé l’engagement de l’État à garantir une prise en charge optimale des patients, notamment ceux atteints de cancer lors de l’installation des 22 sous-commissions du Comité national de prévention et de lutte contre le cancer.
Dans un document portant une analyse de la situation adressé au Président de la République, le syndicat expose plusieurs arguments justifiants ses préoccupations.
Dans le souci d’améliorer l’approvisionnement des établissements de santé en médicaments et dispositifs médicaux, le directeur général de la pharmacie centrale des hôpitaux PCH sous tutelle du ministère de la santé, Sabri Djerroud, a engagé une série de mesures pour que les traitements arrivent aux lits des patients.
A l’issue de la cérémonie d’inauguration du laboratoire central de l’Agence nationale des produits pharmaceutiques, le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique Ali Aoun a indiqué que le secteur aspire à satisfaire à hauteur de 85% le marché local en produits pharmaceutiques d’ici à la fin de l’année en cours.
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Le nombre de médicaments en rupture de stock en officine augmente de jour en jour. Cette rupture touche de plus en plus de classes thérapeutiques au niveau national. Elle concerne aussi bien les princeps que les génériques et particulièrement ceux qui sont fabriqués localement. Le syndicat national de pharmaciens d’officines sort de sa réserve et dénonce.
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